Retour sur la décision de la Cour de Justice de la République, Balladur/Léotard du 4 mars 2021 (1/2) Par Cécile Guérin-Bargues
« If there were no bad people, there would be no good lawyers »[1] Comparé aux procès qui se sont jusqu’ici tenus devant la CJR, celui de M. Balladur et Léotard se démarque par l’influence que le déroulement des audiences a pu avoir sur la sentence …